Le samba passe en France par une phase d’assimilation et d’acculturation. Divers musiciens français l’adaptent et le réécrivent. Installé en France et donc libéré de la censure faite au samba au Brésil, Baden Powell va opérer la réafricanisation du samba. Face à l’engouement pour le samba en France, le Brésil ne pourra que se réapproprier cette musique, anoblie à ses yeux, au point même d’en faire un symbole national. Transculturé, le samba en France continue aujourd’hui sa route sous diverses formes.
Notre mascotte voulait en placer une :
Les scientifiques m’ont donné le nom savant de « Guaruba Guarouba » et le nom vulgaire de « Conure dorée » (quelle horreur de nom…)
Por favor, ne retenez que le nom que m’ont donné les indiens Tupi :
« Arajuba »
Il sonne mieux et va bien à mon ramage et à mon air voyou